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Altaeros Energies emploie des technologies aérospatiales à soulever une petite éolienne de 1 000 pieds du sol où le vent est plus fort. La puissance produite par l'éolienne aéroportée (AWT) est envoyée à la terre par l'intermédiaire de chefs d'orchestre avec l'appareil relié à la terre.
Le MIT, Harvard et équipe Force aérienne formée à Altaeros vient de terminer un essai d'un prototype de production d'électricité qui fonctionne réellement et levé une éolienne 350 pieds du sol pour produire le double de la puissance à haute altitude qu'à hauteur des tours typiques. Le test dans la vidéo a été complètement automatisé, selon co-fondateur, Adam Rein--sans pilote et en mesure de « soulever, générer et atterrir sans aucun contrôle actif ». Ces essais ont eu lieu en plein hiver dans le nord du Maine.
La Force aérienne utilise toujours la technologie gonflable hélium attachés--appelée aérostats, les cousins industriels des dirigeables--sur la construction du projet. Ainsi, la technologie pneumatique n'est pas entièrement nouveau.

 
Rêne fait remarquer que la compagnie utilise une éolienne « standard » 2.5 kilowatts, 3,7 mètres, 3 pales a fusionné avec jeux gonflables hélium qui ont levé des systèmes radar pendant des décennies. L'appareil est évalué pour atteindre environ 1 000 pieds dans la couche limite. La plus haute éolienne terrestre est à 350 mètres de haut.
Altaeros cherche à déployer les unités hors-réseau et difficiles à atteindre des endroits comme les bases militaires, les villages reculés, les sites pétroliers et gaziers, éventuellement même les applications offshore. Puissance dans ces régions est en général groupes électrogènes diesel avec une étiquette de prix cher d'obtenir le diesel livré et un coût total de 0,50 $ à 0,75 $ par kilowatt-heure. Réclamations Altaeros que ça coûte sera « un tiers de cela. »
Se prêtant à ces sites distants, l'unité AWT est « vraiment facile et pas cher à mettre en place, » selon le Rein et « les packs pour le système entier jusqu'au plus petit qu'une voiture compacte. » Les organismes de réglementation et les pouvoirs en place commencent à reconnaître l'existence de cette nouvelle technologie. La FAA a mis sur le projet de règlement pour les éoliennes captif à haute altitude. Rêne revendique la conception AWT peut surmonter certains des défis d'éoliennes types traditionnels--ce qui les rend plus silencieux avec moins impacts d'oiseau et radar. Garrad Hassan, un cabinet de conseil leader vent, a pris un regard sur la technologie aussi bien.
Toutefois, les risques techniques, réglementation, financement et environnementales restent pour cela affriolante technologie.
Altaeros est financé par des investisseurs privés des semences, l'USDA et la CEC. Autres acteurs dans ce domaine incluent Makani Power, SkyWind Power, Magenn, Ampyx, KiteGen --également explorer cette partie de l'atmosphère.
 
 

Nouveau système de pile à combustible « génère de l'électricité avec de l'eau seule, Air »

 


Genepax Co Ltd a expliqué les techniques utilisées dans son nouveau système de pile à combustible "eau énergie système (WES)," qui utilise l'eau comme carburant et n'émet pas de CO2.
Le système peut produire l'énergie tout en fournissant l'eau et l'air pour les électrodes de carburant et d'air, respectivement, la société a déclaré à la Conférence de presse qui a eu lieu le 12 juin 2008, à la salle de l'Assemblée Osaka.
Le mécanisme de génération de puissance de base du nouveau système est similaire à celle d'une pile à combustible normale, qui utilise de l'hydrogène comme carburant. Selon Genepax, la principale caractéristique du nouveau système est qu'il utilise ensemble membrane-électrode de l'entreprise (MEA), qui contient un matériau capable de décomposer l'eau en hydrogène et en oxygène au moyen d'une réaction chimique.
Bien que la société n'a pas révélé les détails, il « réussi à adopter un procédé bien connu pour produire de l'hydrogène de l'eau à l'AEM, » a déclaré Hirasawa Kiyoshi, président de l'entreprise. Ce processus est prétendument similaire au mécanisme qui produit de l'hydrogène par une réaction de l'hydrure de métal et l'eau. Mais par rapport à la méthode existante, le nouveau processus devrait produire de l'hydrogène de l'eau plus longtemps, a indiqué la compagnie.
 


Grâce au nouveau processus, la cellule a besoin seulement l'eau et l'air, éliminant le besoin d'un réformateur de l'hydrogène et le réservoir d'hydrogène à haute pression. En outre, la MEA ne nécessite aucun catalyseurs spéciaux, et la quantité requise de métaux rares tels que le platine est presque la même que celle des systèmes existants, Genepax dit.
Contrairement à la pile à combustible à méthanol direct (DMFC), qui utilise du méthanol comme carburant, le nouveau système n'émet pas de CO2. En outre, il est prévu d'avoir une vie plus longue parce que la dégradation de catalyseur (empoisonnement) causée par le CO ne se produit pas sur le côté d'électrode combustible. Comme il n'a été un peu plus d'un an étant donné que la société a réalisé le prototype, il prévoit de recueillir plus de données sur la vie du produit.
Lors de la conférence, Genepax a dévoilé une pile pile à combustible d'une puissance nominale 120W et un système de pile à combustible d'une puissance nominale de 300W. Au cours de la démonstration, les piles à combustible 120W était tout d'abord remplis d'eau à l'aide d'une pompe à piles piles sèches. Après que l'alimentation a été générée, il est géré comme un système passif avec la pompe hors tension.
Cette fois, la tension de la pile pile à combustible était 25-30V. Parce que la pile est composée de 40 cellules connectées en série, il est prévu que la production par les cellules est 3W ou supérieur, la tension est environ 0,5-0,7 v et le courant est d'environ 6-7 a. La densité de puissance est susceptible de n'être ne pas moins de 30 mW/cm2 parce que la zone de réaction de la cellule est de 10 x 10 cm.
Pendant ce temps, le système de pile à combustible de 300W est un système actif, qui fournit de l'eau et l'air avec une pompe. Au cours de la démonstration, Genepax propulsé le téléviseur et l'équipement d'éclairage avec une batterie chargée à l'aide du système. En outre, le système 300W a été monté dans la salle des bagages d'un véhicule électrique compact « Reva » fabriqué par Takeoka Mini voiture Products Co Ltd, et le véhicule a été conduit en fait par le système.


Genepax initialement prévu de mettre en place un système de 500W, mais n'a pas pu se procurer les matériaux pour la MEA dans le temps et a fini par en faire un système 300W.
Pour l'avenir, la société a l'intention de fournir des systèmes de génération 1kw-classe pour utilisation dans les véhicules électriques et les maisons. Au lieu de rouler uniquement avec des véhicules électriques avec ce système, l'entreprise s'attend à utiliser comme un générateur pour recharger l'accumulateur utilisé dans les véhicules électriques.
Bien que le coût de production est actuellement environ 2 000 000 ¥ (US$ 18 522), elle peut être réduite à 500 000 ¥ ou abaisser si Genepax aboutit à la production de masse. La société estime que son système de pile à combustible peut rivaliser avec les systèmes solaires résidentiels si le coût peut être ramené à ce niveau.
 Selon Genepax en 2012, un litre d'eau maintient la voiture en marche pour environ une heure à une vitesse de 80 km/h, 50 miles/h.lors de sa présentation a tokyo en fevrier 2012 

vrai invention ou intox publicitaire de la société ???


Le Hammerfest Strøm sera un parc d'hydroliennes. L'hydrolien est un système de production d'énergie utilisant la force des courants de marée (au même titre que les éoliennes utilisent le vent) à ne pas confondre avec l'énergie marémotrice comme l'installation du barrage de la Rance. Sa production envisagée à terme sera de 32 GWh par an, grâce à 20 hydroliennes. Elle est actuellement en cours de construction à proximité de Hammerfest en Norvège, la ville la plus septentrionale d'Europe
L'entreprise norvégienne Hammerfest Strøm utilise sa technologie de turbines hydrauliques pour capter l'énergie des marées, sans infrastructure fixe.

Depuis 2003, la turbine prototype "Blue Concept" avec une puissance nominale de 300 kW est montée sur un mât installé au fond de la baie de Kvalsundet en Norvège .

La production annuelle d'une centrale de 20 turbines installées à travers le détroit sera de 32 GWh.