(environnement) la france pays numero 1 du recyclage et du respect de la nature

la france de 1946 a 2001 a exploité 210 sites miniers d'uranuim dans 25 departements de la metropole en 50ans la plupart a ciel ouvert,dans ses programmes civils et militaires, la sogema et le cea on ete chargé pendant ses 50ans de l extraction de l'uranuim, resultat: 300 millions de tonnes de dechet y on ete produit pendant l'extraction du minerais,sans controle ses dechet se trouve entéré un peu partout autour des sites 170 millions de sterile (minerai d'uranuim) se trouverai aussi enterré

a Gueugnon (Saône-et-Loire): demonté il y as 15ans se trouvait une usine de la sogema qui construisait du concentré d'uranuim, l usine a fonctionné pendant 25ans avant sont démantellement sur le terrain deux batiments on ete construit des prelevements ont ete fait et donne un taux innormal et dangereux sur se site de l autre coté de la riviere 225 milles tonnes de matières dangereuse contenant 42 tonnes d uranuim y on ete enfoui un stade y as ete construit les relevés sur site donne un taux innormal de rayon radio actif sur tous le site pouvant etre dangereux pour la santé si il y as une longue exposition au sol

Saint-Pierre-du-Cantal (Cantal)
sur un site minier fermé en 1985 ayant recu les residu d'une usine ayant fonctionné de 1977 a 1985 un village y a ete batit 600 milles tonnes de residu d'uranuim y ont ete entérré un lac de loisir y as ete concu en 1987 interdit a la beignade depuis 2005

a belsanne
anciens cite minier des centaines de camions y on déversé 1.5 millions de tonnes de dechet
serait entreposé sur se site qui fuit de toute part, l eau chargé d'uranuim sortirait d'entre les pierres, une station eyant ete installé,malgré cela l 'eau qui en ressort et toujours contaminee

st prieste la prune(loire)
la hautes vienne avec ses 40 sites d'extractions d'uranuims a st prieste et sa region des mesures faites apporterai des taux inormaux sur des terrains privee et route du département la sogema aurait donné a titre gratuit a l epoque du steriles(minerai d'uranuim) comme remblai pour des terrain privee,des entreprise et route sans compté l'ancien site minier renfermant 1 100 000 t de résidus dans la mine souterraine et 1 300 000 t, dont 286 t d'uranium, dans un vaste bassin de 20 ha où ils s'étagent sur 19 m d'épaisseur. Après avoir essayé de reconvertir le site en centre de stockage de déchets radioactifs, le CEA donne la préférence, pour sa réhabilitation, à la transformation du bassin en... base nautique ! Ce site devrait être classé INB.


a margnac
une ancienne mine son sol est autement toxique, des fut 176.000 au total contaminé au yeloke(concentré d'uranuim)y fure enterré
La Ribière (Creuse) : ancienne mine d'uranium à ciel ouvert abritant 200 000 t de résidus


Bertholène (Aveyron): site minier en exploitation, où ont été stockées, début 1991, dans la vallée des Balaures, derrière une digue constituée de stériles et de déblais, 310 000 t de résidus.

Le Cellier (Lozère) : ancien site minier souterrain et à ciel ouvert, renfermant 1 112 000 t de résidus de traitement fins, dont 76 t d'uranium, et 4 532 000 t de résidus grossiers (dont 672 t d'uranium). Ce site devrait être classé INB.

L'Ecarpière (Loire-Atlantique) : sur cet ancien site minier, un bassin artificiel entouré de digues constituées de résidus grossiers de lixiviation, contient 7 500 000 t de boues, soit 510 t d'uranium. Avec les digues qui renferment, elles, 300 t d'uranium, le tonnage total est de 11 500 000 t l'un des plus importants de France. On projette d'y mettre des résidus radioactifs provenant du traitement de terres rares effectué par Rhône-Poulenc à La Rochelle, à raison de 7 800 t par an. Ce site devrait être classé INB.

Le Bosc (Hérault) : excavations d'une mine à ciel ouvert renfermant, début 1991, 2 969 000 t de résidus, dont 818 t d'uranium, provenant de l'usine SIMO du Bosc, actuellement en exploitation. Ce site devrait être classé INB.



Le Bauzot (Saône-et-Loire): ancien site minier renfermant des fûts de déchets radioactifs livrés entre 1958 et 1969. Il s'agit de 32 600 fûts provenant du centre du Bouchet et contenant 5 600 t de déchets . Il y a aussi 48 000 fûts venus de l'usine SICN/CERCA, à Veurey-en-Isère, qui fabrique les éléments combustibles des réacteurs ! Ils contiennent 10 400 t de graphite, de quartz et de boue de sablage. S'y ajoutent quelques centaines de fûts contenant des terres et des gravats provenant de l'usine pilote d'extraction de plutonium qui a fonctionné à Fontenay-aux-Roses de 1954 à 1957. Actuellement, tous ces fûts sont enfouis dans une sorte de tumulus de 6 m de hauteur sur une surface de 8 000 m2.

Rophin (Puy-de-Dôme) ancien site minier renfermant 30 000 t de résidus contenant une tonne d'uranium,

Saint-Hippolyte (Haut-Rhin) : à deux pas d'un ravissant village de la route du vin, ancien site minier de Schaentzel et du Teufelsloch (le trou du diable) renfermant toujours 2 000 t de résidus de lixiviation. En fait, le minerai lixivié est resté dans les cuves et l'exploitation a cessé après une campagne d'essai en 1969.

limoges
des relevée d'eau sur limoges aurait apporté un taux anormal de radioactivité, limoges pompant sont eau potable de 3 lacs ,le lac de la crouzille, du gouillet,de beaune et un peu du marzeau.suite au plainte areva investissa 1 millions d'euro dans le curage du lac de la crouzille les pelleteuse y enleverre 50.000 m2 de boue radioactive plus 5 millions de tonnes du au residu
le curage se revelle insuffisant car a 500 metres d'altitudes a 3km a vol d'oiseau de l'etang de la crouzille se trouve les ancienne mine d'uranuim de peny mine fermé il y as 15ans et remplit d'eaude cette ancienne mine les fines(particule d'uranuim) se rejete dans tous les cour d'eau de la région en plus certaines boue venant enlevee du lac aurait ete deversé en pleine nature

en général les controles fait sur les anciennes mines sont fait que sur l'uranuim minere enlevé de la roche, ses controle ne prennent pas en compte les descendant de l 'uranuim le raduim226,le radon,le plutonuim,le toruim230 ect...il faut environ 4.5 milliard d'annees pour que la teneur redevienne normal sur un site d'uranuim

la france de 1946 a 2001 a exploité 210 sites miniers d'uranuim dans 25 departements de la metropole en 50ans la plupart a ciel ouvert,dans ses programmes civils et militaires, la sogema et le cea on ete chargé pendant ses 50ans de l extraction de l'uranuim, resultat: 300 millions de tonnes de dechet y on ete produit pendant l'extraction du minerais,sans controle ses dechet se trouve entéré un peu partout autour des sites 170 millions de sterile (minerai d'uranuim) se trouverai aussi enterré...