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#Posté le jeudi 04 octobre 2012 11:10

Modifié le jeudi 04 octobre 2012 11:25

naufrage de l endurance

Normandie
vendredi 14 août 2009
"Ça fait mal au ventre de voir son navire couler"


: D. R.


Deux des quatre rescapés de L'Endurance racontent la panne et la perte du chalutier, dans la nuit de mardi à mercredi, au large des côtes normandes. Une enquête devra éclaircir les causes techniques de l'accident.
« Ils m'ont mis la chienne dans les bras, dans le radeau de survie... Là seulement j'ai réalisé. » Viviane Feuillet, 44 ans, de Port-en-Bessin, était l'un des quatre membres d'équipage du chalutier L'Endurance, qui a sombré dans la nuit de mardi à mercredi. Vers 4 h 40, une heure après le signalement d'« une importante voie d'eau », le navire de 16 m coulait jusqu'à 46 m de profondeur, à 90 km au nord-est de Cherbourg. Dérouté, le ferry Mont-Saint-Michel a récupéré les quatre marins-pêcheurs, sains et saufs (lire Ouest-France d'hier).

Le compagnon de Viviane, Jean-Luc Deschamp, second mécanicien de L'Endurance, avait déjà vécu deux avaries de cette ampleur durant ses 30 ans de carrière, dont 14 comme patron. « Les deux fois, j'avais réussi à bricoler un système pour aspirer l'eau et sauver le bateau. Mais là, on n'a rien pu faire... Il y avait déjà trop d'eau pour qu'on puisse agir. »

Visite annuelle sans souci

Le patron-armateur du chalutier, Loïc Lebas, et lui faisaient équipe ensemble depuis deux ans. Mercredi, ils sont restés « le plus longtemps possible » sur le pont. Pendant que Viviane, Olivier Deman, l'autre matelot, et Douchka, le golden retriever apeuré, s'étaient réfugiés dans le radeau de survie. « Ils sont têtus, s'exclame la « matelote » qui fait ce métier depuis deux mois. Il a fallu que le Cross (Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage, NDLR) leur donne l'ordre de quitter le navire ! »

Jean-Luc l'admet, mais « ça fait mal au ventre de voir disparaître son outil de travail. C'est un peu une partie de soi qui part. » Le chalutier de Grandcamp-Maisy, immatriculé à Caen, avait quitté Port-en-Bessin lundi. L'Endurance peut stocker 7 à 8 tonnes de poissons. « On en avait à peu près 1,3 tonne... On avait prévu de rentrer ce vendredi. Mais on a perdu notre emploi, notre pêche... Et le patron, son bateau. »

Loïc Lebas avait réinvesti du matériel pour L'Endurance, acheté voici quatre ans. « On a refait plein de choses dessus durant un mois, en début d'année. » Diverses réparations, de la peinture... « Ce navire a passé sa visite annuelle sans souci le 22 juillet », indique Romain Guillot, administrateur des Affaires maritimes. Comme le veut la procédure, une enquête sur « les causes techniques de l'accident » va être menée par le bureau enquête accident. Un navire coule chaque année dans la Manche, au large de la Basse-Normandie. Pour Romain Guillot, « le métier de marin à la pêche est le plus dangereux ».

Voie d'eau à bord : un voilier remorqué par la SNSM.

Jeudi matin, vers 6 h 20, au nord-ouest de Barfleur, un voilier néerlandais de 10 m a signalé une avarie de barre et une voie d'eau au Cross Jobourg. Un navire de commerce a été dérouté, plusieurs vedettes ont aussi fait route vers le voilier. Le bateau de sauvetage de la SNSM de Fermanville et l'hélicoptère de la Marine nationale Rescue GX ont également été mobilisés pour lui porter assistance. Une fois sur zone, les sauveteurs en mer ont activé leur motopompe et pris le voilier en remorque jusqu'à Cherbourg.

Nathalie HAMON.
source ouest france
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#Posté le samedi 15 août 2009 10:55

les delire de bruxelle

La Commission pourrait réclamer 87 millions d'euros aux pêcheurs et 1,7 million aux producteurs de cognac.

Bruxelles

Bruno Le Maire n'en a pas fini avec les aides d'État contestées par Bruxelles. Même si les sommes en jeu sont moindres. Le nouveau ministre de l'Agriculture et de la Pêche hérite d'abord du problème de l'«avance» consentie par la France entre 2004 et 2006 au Fonds de prévention des aléas de la pêche (FPAP) pour aider les pêcheurs à affronter l'envolée des prix du gazole. Problème, ce prêt a finalement permis au secteur de payer le pétrole moins cher que le prix du marché et n'a jamais été remboursé. Bruxelles s'en est saisi, et, en mai 2008, a déclaré l'aide anticoncurrentielle.


Risque de dépôt de bilan

Et, comme dans le cas des fruits et légumes, la facture reste floue. «Nous sommes dans l'expectative totale. D'après nos informations, ce serait une somme de 65 millions d'euros que l'ensemble des professionnels aurait à rembourser», affirme Antoine Dhellemmes, président de l'Union des armateurs à la pêche de France. Selon lui, si le secteur était contrait au remboursement intégral, pas moins de 80 % des entreprises françaises pourraient déposer le bilan.

Or, mauvaise nouvelle : si effectivement la somme concernée au départ était de 65 millions d'euros, la Commission a indiqué à la France que, selon ses informations, le montant total des aides versées au FPAP était de 87 millions, précise l'exécutif européen. «On sait que ce n'est pas simple», ajoute Bruxelles, affirmant être en contact régulier avec les autorités françaises concernant les modalités de remboursement. Et de prendre le soin de préciser : «Les entreprises de pêche ne devraient rembourser que ce qu'elles ont perçu, même si au total ce montant ne représente pas 87 millions d'euros.»

Autre contentieux : le cognac. Un dossier entre les mains de la France. En 2000, la Commission avait en effet contesté le coup de pouce de 1,2 million d'euros pour aider à l'arrachage des vignes. Huit ans plus tard, Paris a demandé aux viticulteurs de rembourser 1,7 million, en comptant les intérêts. En juin dernier, un collectif de 630 professionnels a assigné la France en justice. Et Bruxelles attend toujours. «La seule chose que l'on sait c'est que la France s'est engagée à nous tenir au courant. Des cas comme celui-ci peuvent durer des années et des années», glisse-t-on à la Commission. En avril, elle a été avertie de l'envoi de 627 ordres paiement.



source le figaro
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#Posté le samedi 08 août 2009 16:11

sete 1er port de peche mediterranneen

Premier port de pêche en Méditerranée française, Sète occupe une place essentielle dans l'activité maritime méditerranéenne, nationale et européenne.
Haut-lieu de la production du poisson bleu (sardine, anchois), première base française pour la pêche au thon rouge, le port de pêche est animé par SA.THO.AN, puissante organisation de producteurs qui regroupe près de 50 navires, chalutiers et thoniers.Le chalutage méditerranéen compte une centaine d'unités de 18 à 25 mètres. Ce secteur est encadré et règlementé. Cette réglementation, en place depuis 1975 fixe les grandes règles suivantes :
- jours de sortie (pas de sortie le week-end et les jours fériés)
- heures de sortie (de 3h du matin à 19h le soir)
- longueur maximale : 25 mètres maximum
- licence spécifique, puissance maximum, ect....

La flotte sétoise
- 27 chalutiers polyvalents de 18 à 25 mètres, tous adhérents à l'OP SA.THO.AN.
- 11 thoniers senneurs de 25 à 45 mètres, adhérents ou membre associés à l'OP SA.THO.AN.
- une vingtaine de petits métiers.

Les petits métiers sétois, pêche traditionnelle pratiquée par une trentaine d'embarcations, sont principalement localisés dans 3 sites :
- le Quai de la Consigne,
- la Pointe-Courte
- le Barrou

La pêche sétoise est donc formée de flotilles artisanales, constituées d'armements familiaux.

TECHNIQUE DE PECHE
-Le chalut de fond :
On pratique sur Sète deux types de pêche au chalut. La pêche au chalut dit démersal qui concerne le poisson blanc (sole, rouget, baudroie, dorade). Après 1 à 2 heures de route, on arrive sur zone de pêche, on met le chalut à l'eau et on le tract à l'arrière du chalutier pendant 3 heures à une vitesse d'environ 4 n½uds. De 3 à 4 traits sont réalisés par jour, pour des captures de 500 à 600 kg. Le poisson est trié à bord et placé en caisse de 10 à 15kg avant le retour au port vers 16-18 heures.
Le chalut pélagique :

-La pêche au chalut pélagique à 4 panneaux est une pêche sélective réalisée entre 2 eaux plus souvent près du fond pour la capture de sardine et d'anchois mais également de façon accessoire quelques merlus et maquereaux. Les traits sont plus courts, environ 40 minutes à l'heure. Au total, 4 à 6 opérations de pêche sont réalisées par jour. Les captures varient entre 3 et 6 tonnes par bateau. Le poisson est conservé avec beaucoup de précaution. Une fois à bord, il est immédiatement glacé sur le pont, stocké en caisse plastique de 4 kg, glacé à nouveau avant d'être placé en chambre froide positive.
La pêche est journalière (sortie des bateaux 3 heures, retour vers 16 heures). Au total la SA.THO.AN. totalise environ 220-230 jours de pêche par an, pour un tonnage moyen de 8 000 à 10 000 tonnes (2/3 poissons bleus,1/3 poissons blancs).

PRODUCTION
-poissons bleus :
Sardine : de 3 000 à 5 000 tonnes
Thon rouge : environ 4 000 tonnes
Anchois : de 2 000 à 4 000 tonnes
Maquereau : 500 tonnes

-Poissons de roche et poissons blancs (principales espèces) :
Merlu (merlan) : 400 tonnes
Poulpe : 400 tonnes
Capelan : 300 tonnes
Chinchard (Gascon) : 200 tonnes
Baudroie (Lotte) : 200 tonnes
Congre : 120 tonnes
Grondin : 175 tonnes
Dorade royale : 80 tonnes
Calamar : 70 tonnes
Congre : 60 tonnes
Rouget Barbet : 50 tonnes
Mulet (Muge) : 50 tonnes
Bogue : 45 tonnes
Sole : 30 tonnes

-Fruits de mer :
La production d'huîtres et de moules est principalement concentrée sur les rives de l 'Etang de Thau.

SOURCE :SA.THO.AN.
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#Posté le mardi 21 juillet 2009 09:49

Modifié le mardi 21 juillet 2009 10:10

Cinq marins sauvés des flammes

le 19.06 À 20h, l'Ar Vag II, un chalutier hauturier immatriculé au Guilvinec (29), était considéré comme perdu. En flammes à 80 milles à l'ouest de Penmarc'h, son équipage a été sauvé de justesse. Les cinq hommes d'équipage ont été hélitreuillés à bord d'un hélicoptère de la Marine nationale dérouté par le Cross Corsen. Ils ont été ramenés à terre, sains et saufs. Hier, en début de soirée, la vedette SNSM sur zone tentait toujours de circonscrire l'incendie.
Cinq marins, dont trois Portugais, ont été hélitreuillés l après-midi vers 17 h. Leur chalutier, l'Ar Vag 2, était en feu à 80 km à l'ouest de Penmarc'h (29). Au moment où les premières flammes sont apparues, quatre des marins dormaient. Le cinquième a pu donner l'alerte.

Construit en 1989, l'Ar Vag II a déjà connu un incendie. C'était en septembre 2001. Le chalutier était alors à quai.
source:telegramme
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#Posté le samedi 20 juin 2009 18:12

Penmarc'h. Le chalutier coule, le patron hélitreuillé

Le Brocéliande, un chalutier de 12m, a coulé, hier peu avant midi, à huit milles au sud de Penmarc'h, victime d'une lame. Seul à bord, son patron a été hélitreuillé.

Une lame serait à l'origine du naufrage du Brocéliande, survenu, hier en pleine journée, à huitmilles du port de Saint-Guénolé. Le chalutier avait quitté son port d'attache dans la matinée. Malgré une mer peu agitée et un vent de 20 noeuds, le navire de 12m a chaviré, ne laissant pas le temps au patron, seul à bord, de prévenir les secours. C'est le déclenchement automatique de la balise de détresse qui a alerté, peu après 11h, le Cross Etel d'un incident à bord. «Le bateau a coulé très vite, puisque le sémaphore de Penmarc'h, immédiatement interrogé par le Cross, n'avait aucun chalutier en visuel», expliquait, hier, Xavier Prud'hon, l'administrateur des Affaires maritimes du Guilvinec. Alerté, l'hélicoptère de la Sécurité civile Dragon 29 arrivait sur place quelques dizaines de minutes plus tard pour porter secours à Florian Mourin, âgé de 35 ans. Équipé de son gilet de sauvetage, il avait eu le temps d'embarquer dans son canot de survie. Hélitreuillé par les deux sauveteurs du centre de secours de Quimper qui avaient pris place à bord de l'hélicoptère, l'homme a été transporté au centre hospitalier de Quimper, «souffrant d'une légère hypothermie», selon la préfecture maritime.

Par 100m de fond

Il s'agit là du second naufrage, en l'espace de deux ans, pour ce jeune patron pêcheur dont le précédent bateau, Le P'tit Boudet, avait coulé dans des circonstances similaires, le 12août 2007, à quelques milles de la pointe du Van. Il avait, cette fois, été secouru, avec son matelot, par un couple de plaisanciers. Hier, sur zone, les secours ont observé de légères traces d'irisation. Le Brocéliande, retenu par le dernier plan de sortie de flotte, repose désormais par 100m de fond.
article : telegramme
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#Posté le lundi 08 juin 2009 20:50

47 ans apres la fin d une enigme? "LE RAVENEL"

Le 15,05,2009 Yves Jégo, Secrétaire d'Etat chargé de l'Outre-Mer, a organisé jeudi 14 mai une conférence de presse sur les recherches de l'Oiseau Blanc à Saint-Pierre-et-Miquelon.
Au cours des trois dernières années, Bernard Decré a mené une longue et minutieuse enquête sur la disparition de « l'Oiseau Blanc », mythique avion de l'As des As de l'aviation, Charles Nungesser, et de son navigateur François Coli.
Partis de Paris le 8 mai 1927 pour rejoindre New-York en vue de réaliser le premier vol transatlantique sans escale, ces deux héros de la première guerre et pionniers de l'aviation, ne sont jamais arrivés à destination. Selon l enquete en cours il pourait s etre ecrasé au large de st pierre et miquellon la marine nationnal porterai son soutient au recherche et il est question en meme temp de recherchez le chalutier ravenel disparu le 28 janvier 1962
Le chalutier « Ravenel » est arrivé à Saint-Pierre en novembre 1960, sous la responsabilité du capitaine René Lehors qui en assura la traversée Saint-Malo/Saint-Pierre via Saint-Jean de Terre-Neuve. Il a ete construit en France a Saint-Malo pour la Société de Pêche et de Congélation (SPEC) qui possédait déjà d'autres unités. Ces chalutiers alimentaient de poisson frais l'usine frigorifique située à l'extrémité de la route du Cap à l'Aigle.le 28 janvier 1962 le ravenel sombrait lors d une tempete avec ses 15 marins, il ny eu accun survivant et l epave n as jamais ete retrouvé
a l epoque plusieurs controverses urent lieu au sujet de la stabilite du navire - les armateurs Metropolitains ( qui tenaient 51 % des actions ) insistaient que le chalutier devait etre construit sur un modele francais dans un chantier naval francais - A St Pierre les (vrai) marins qui eux voyageaient sur le chalutier avaient note des problemes de " comportement " du navire. Les membres St Pierrais du conseil d'administration s'etaient eux aussi prononces ouvertement en enoncant leurs inquietudes quant a la stabilite du bateau par " gros" temps . On apaisa leurs craintes, leur disant que le chalutier etait construit suivant les normes Holandaise.
Une seconde these rejoignent la 1er dit que par le poid de la glace sur son pont et le manque de stabilité pendant la tempetes aurait fait sombré le navire lors de la tempete
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#Posté le dimanche 17 mai 2009 10:56

triste constat

De nombreux bateaux de pêche sont partis à la casse, grâce aux aides à la reconversion, mais leurs propriétaires ne veulent pas pour autant changer de métier

Sur le port des Sables-d'Olonne (Vendée), c'est le calme plat. En cette matinée du mois d'avril la plupart des bateaux sont partis en mer pour pêcher le bar, le merlan, la sole ou la langoustine. De toute façon, ils sont de moins en moins nombreux.

Commandant de l'Arundel, un chalutier de 18 mètres, Ludovic Boyer est l'un des rares à s'affairer sur le quai. « Il y a trente ans, quand mon père naviguait, les bateaux étaient coque à coque, raconte ce jeune homme de 32 ans. Regardez comme c'est vide ! »

Dans les années 1980, le port vendéen comptait 300 bateaux de pêche. Aujourd'hui, ils ne sont plus qu'une soixantaine. Et le mouvement n'est pas près de s'arrêter. Alors que deux bateaux sont partis à la casse l'an dernier, six devraient subir le même sort cette année.

D'après la direction des affaires maritimes des Pays de la Loire, les sorties de flotte sont chaque année plus nombreuses : 39 demandes ont été déposées dans la région en 2009, contre une vingtaine en 2008.
Pas facile de voir le bateau construit par son père partir en fumée

René Lefort, 49 ans, s'est séparé d'un chalutier de 17,62 mètres l'an dernier. « Le bateau commençait à avoir de l'âge, confie-t-il. Et puis, la crise du gazole est passée par là. » Aujourd'hui, il espère pouvoir acheter un nouveau bateau, plus petit et moins gourmand en carburant. « J'ai trente ans de métier derrière moi, je ne vais pas m'arrêter maintenant. J'ai besoin de reprendre la mer. »

Geoffrey Arnault, patron du Gengis Khan, un chalutier de 18,5 mètres, vient de prendre la même décision. « Je le fais à contre-c½ur, avoue cet armateur de 36 ans. Mais je suis au pied du mur. Entre la crise du gazole et les réparations à faire sur le bateau, je ne pouvais pas creuser davantage mes dettes. »

Pas facile de voir le bateau construit par son père partir en fumée. Mais l'argent récupéré – en moyenne 450 000 ¤ pour un chalutier de 20 mètres – va lui permettre de se remettre à flot, puis d'acheter un navire plus modeste.

Sur le port des Sables-d'Olonne, malgré le plan de sortie de flotte, rares sont les pêcheurs à opter pour une vraie reconversion. « Les gens préfèrent partir à la retraite, prendre un bateau plus petit ou travailler comme matelot sur un autre navire », constate Michel Daviau, directeur de l'Armement coopératif artisanal vendéen (Acav), qui regroupe 15 bateaux aux Sables-d'Olonne et à l'île d'Yeu.
"Nous sommes une espèce en voie de disparition"

Cette année, la coopérative va mettre trois navires à la casse. Les pêcheurs voudraient en profiter pour investir dans la transformation de six chalutiers en « senneurs danois ». Cet équipement se veut plus respectueux de l'environnement : il permet de consommer moins de gazole, de ne pas racler les fonds et de laisser passer les poissons de petite taille.

« Si nous n'arrivons pas à transformer nos bateaux, je suis très pessimiste sur l'avenir de notre métier, poursuit Michel Daviau. On ne pourrait pas survivre à une nouvelle montée du gazole. »

Pour les pêcheurs, le plan de sortie de flotte n'est pas une solution. « Bien sûr, cela permet aux armateurs en difficulté de s'en sortir. Mais les bateaux détruits ne sont pas remplacés faute d'autorisation, déplore le directeur de l'Acav. Une profession qui ne peut pas renouveler ses outils de travail ne peut pas survivre. »

Moins de navires, ajoutent-ils, c'est aussi moins d'activité sur le port : mécaniciens, personnels de la criée, grossistes, etc. « Nous sommes une espèce en voie de disparition », ironise José Jouneau, président du Comité local des pêches.

Face à l'avenir, les pêcheurs du Guilvinec (Finistère) restent circonspects. Pourtant prompts à s'enflammer, les pêcheurs bretons ont cette fois observé le conflit des pêcheurs du nord de la France sans s'en mêler. « Les Bretons ne pêchent pas les mêmes espèces et travaillent sur d'autres secteurs », explique Robert Bouguéon, président du Comité local des pêches du Guilvinec.
La pêche manque de bras

« Nous avions un plan cabillaud en mer celtique et on l'a respecté en fermant la pêche pendant deux mois, ce qui n'a pas été sans incidence sur le chiffre d'affaires des bateaux », précise Joseph Loussouarn, directeur de l'armement « La Houle » (Saint-Guénolé) et président de l'organisation de producteurs From-Bretagne.

La Bretagne a fait du chemin dans la prise en compte de la gestion de la ressource, et la logique de restructuration de la flotte se poursuit avec succès. Six bateaux ont été désarmés en 2007, 24 en 2008 et, pour l'année 2009, il est prévu que 28 d'entre eux aillent à la casse.

Pour le Finistère où l'on dénombre 730 bateaux, le chiffre peut sembler modeste mais la flotte a considérablement diminué au cours de ces dernières années, sans engendrer trop de difficultés sociales. En 1998, les ports finistériens totalisaient 942 unités pour 3 213 marins. Dix ans plus tard, il y a 200 bateaux de moins mais toujours près de 3 000 marins.

La pêche manque de bras, ce qui explique que les matelots ne restent pas longtemps à terre. Soit ils retrouvent un armement, soit ils se dirigent vers d'autres activités maritimes comme l'offshore. « Pour les 24 bateaux supprimés en 2008, explique Francis Kletzel, inspecteur principal des affaires maritimes, le volet d'accompagnement social a été peu sollicité. Nous avons eu 15 demandes de mesures d'accompagnement de ressources et cinq de cessations d'activité anticipées. »
"Nous allons même au-delà de la réglementation européenne"

Sur les 13 bateaux de l'armement La Houle, deux unités de 20 mètres devraient être sorties de flotte cette année. « Ce sont des bateaux datant de 1986 qui avaient chacun de cinq à six hommes à bord. Il y aura un ou deux départs à la retraite, les autres resteront chez nous, on n'aura aucun mal à les recaser », affirme Joseph Loussouarn.

Le cas du Mam Goz, un langoustinier de 13 mètres parti à la casse l'année dernière, est révélateur de l'évolution du secteur. Philippe Le Moigne, son patron, se souvient avec précision du 16 septembre 2008, jour où l'on a détruit son bateau, même s'il n'en conçoit aucune amertume. « Cela faisait deux ans que je ne naviguais plus à cause de problèmes de santé. À 47 ans, je pouvais encore me reconvertir. »

Philippe Le Moigne, qui était en pointe dans le conflit de l'hiver 2007, est aujourd'hui président de la coopérative Armor Glas qui s'occupe de la gestion des « contrats bleus », proposés aux pêcheurs pour mieux maîtriser la ressource en contrepartie de compensations financières prévues par le plan Barnier. « Nous allons même au-delà de la réglementation européenne, témoigne-t-il. Pour les langoustines, par exemple, nous avons augmenté la taille minimale de capture de 7 à 9 cm. »

« Mais attention, prévient Philippe Le Moigne. Il faut que Bruxelles sorte la boîte à bons points pour que nous puissions réinvestir dans de nouveaux navires plus performants. » « Il ne faudrait pas, ajoute de son côté Joseph Loussouarn, que lors des prochaines négociations sur les quotas, les plus raisonnables paient pour les autres sans avoir le bénéfice des efforts consentis. »
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#Posté le dimanche 19 avril 2009 20:26

pecheur en greve interview du patron du maria magdalena

« L'entreprise est dans le rouge »
Au discours politicien, le patron du Maria-Magdalena oppose des chiffres. Du concret. « En 1988, on pêchait 500 tonnes de cabillaud par an. Aujourd'hui, je n'ai plus le droit qu'à 33 tonnes pour 180 jours de pêche autorisés. Qu'on m'explique comment faire pour garder l'entreprise à flot ! » Six hommes composent l'équipage du Maria-Magdalena, contre neuf il y a seulement quelques années. Le bateau, un chalutier de pêche arrière de 24 mètres, a été acheté par l'entreprise familiale en 2000. Le patron fait ses calculs : « J'avais présenté un plan de financement qui tenait compte des quotas de l'époque. Mais, depuis, ils ont été divisés par quatre. Bilan : l'entreprise est dans le rouge. » A l'aube de la retraite, Jean-Marie hésite à transmettre le bateau, l'outil de travail, à ses deux fils. « Ils vont se mettre à dos un crédit de 8 millions d'euros alors que l'Europe veut la mort de la pêche artisanale ? » s'inquiète le patriarche.
« Elle est belle, l'Europe ! »
Bruxelles avance des données scientifiques de protection de la ressource halieutique pour justifier la baisse des quotas. Ces arguments-là, Jean-Marie les garde en travers de la gorge. « Qu'ils viennent avec nous en mer ! Il n'y a jamais eu autant de cabillaud que cette année. Nous sommes les premiers à dire qu'il faut protéger la ressource. On n'est pas fous : s'il n'y a plus de poisson, on est au chômage. Mais là, on pêche tellement de cabillaud qu'on est obligé de le rejeter à la mer, pour respecter les quotas. C'est un peu notre salaire qu'on balance par-dessus bord. »
Jean-Marie Wacogne réclame plus d'équité entre les pays européens pour l'attribution des quotas. Le discours est rodé. « La Norvège s'est octroyé 80 % des captures de cabillaud, assure le pêcheur. La France dispose de 1,2 % du reste. Elle est belle, l'Europe ! » C'est pourquoi le marin ne veut pas entendre parler de compensations financières : « Nous, ce qu'on veut, c'est travailler. »
 
Edition France Soir du jeudi 16 avril 2009

il y a quinze ans, la France avait un quota de morue de 140 000 t, il est en 2009 de 9 000 tonnes. Après seulement trois mois de mer, les bateaux du Nord ont pêché plus de la moitié du volume auquel ils ont droit pour l'année... Ils ne trouvent rien d'autre que du cabillaud, signe de son abondance.ne regarder que les quotas français cache un autre chiffre clé : celui du TAC, le total admissible de capture, qui lui est très élevé et peut en effet menacer la ressource : pour 2009 il est de plus de 500 000 tonnes en Europe. Sur ce total, le quota français apparaît bien léger aux pêcheurs. Les Norvégiens, hors Union européenne, se sont vus allouer 80% du TAC. “Dans ces conditions, nous permettre de pêcher un peu plus ne changerait pas grand chose au stock”, font valoir les Français.


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#Posté le samedi 18 avril 2009 07:11

Modifié le samedi 18 avril 2009 20:41

pecheur en greve

Les pêcheurs de la Côte d'Opale poursuivent ce mercredi matin le blocage des ports de Dunkerque, Boulogne-sur-Mer et Calais. Entamée mardi, l'action vise à obtenir une hausse des quotas de cabillaud et de sole. Les marins refusent pour le moment de rencontrer le ministre de la Pêche.
« Le port de Calais a été débloqué de 21h hier à 7h ce mercredi matin parce que les bateaux (de pêcheurs) ont dû se mettre à l'abri à cause du mauvais temps, mais ce matin nous bloquons tous les ports », a déclaré à Patrick Haezebrouck, vice-président du comité des pêches de Dunkerque. Il dit « refuser » la proposition du ministre de l'Agriculture et de la Pêche Michel Barnier, qui évoque des mesures « d'accompagnement économique », « parce qu'il ne remet pas en cause les quotas et qu'il veut donner des aides. Nous on n'a pas besoin d'aides ». « Nous voulons tout simplement une nouvelle gestion de la pêche, un quota national ou local qui permette à la petite pêche artisanale de vivre [...]. On veut des choses concrètes pour pérenniser cette pêche là  », a-t-il expliqué.
Le gouvernement prêt au dialogue
Le gouvernement est prêt au « dialogue », a pourtant expliqué le ministre sur France Info, rappelant toutefois qu'il n'était pas possible de renégocier les quotas comme le réclament les artisans-pêcheurs. Les quotas de cabillaud ont été déjà augmentés de 30% en 2009 par rapport à 2008, a-t-il ajouté.
natacha Bouchard, maire de Calais, a estimé ce matin que « la demande des pêcheurs est justifiée ». Néanmoins, elle a appelé à « lever le blocage ». « Il faut bien qu'ils comprennent qu'ils cassent l'emploi de ceux qui sont déjà en difficulté », a-t-elle expliqué.
Le Trafic transmanche paralysé Le mouvement de blocage a débuté mardi à 17h30 à Calais, Boulogne et Dunkerque, avec une centaine de bateaux au total.
A Calais, le trafic transmanche avec l'Angleterre était à nouveau paralysé mercredi.
Aujourd hui 110 bateaux et 500 marins sont en greve, cherbourg dieppe et le havre pourraient rejoindre le mouvement
le 06 avril Plusieurs ports de Méditerranée, dont ceux de Marseille et La Ciotat dans les Bouches-du-Rhône, et Ajaccio et Bastia en Corse, étaient bloqués par les pêcheurs qui protestent contre le projet européen de réforme de la pêche artisanale,Mourad Kahoul, délégué marseillais du Syndicat des thoniers de Méditerranée, a dénoncé “un acharnement contre la pêche française“.

source figaro/la voix du nord

LE 15.04.2009Le ministre de la Pêche, Michel Barnier, a annoncé mercredi soir une enveloppe de 4 millions d'euros pour aider les pêcheurs du Nord/Pas-de-Calais, à l'issue d'une réunion de plus de quatre heures avec une dizaine de leurs représentants.

Un "plan d'accompagnement" sera mis en place pour les pêcheurs de cette région, comprenant "une enveloppe de 4 millions d'euros" qui sera débloquée d'ici le 30 juin pour les arrêts temporaires de pêche dans cette zone, a indiqué le ministre lors d'une conférence de presse à la sortie de cette rencontre.


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#Posté le mercredi 15 avril 2009 06:29

Modifié le mercredi 15 avril 2009 20:20

L ATLANTIC DOWN

L'armement atlantic down a été crée il y as une vingtaine d année comprend 7 navires l antartic(1997)64m,le chalutier/senneur 'atlantic quiest(2004)23,20m,le senneur l'eternal down(2005)22,75m,le senneur felucca(1995) 55m,le chalutier le paula (1994) 59,20m,le chalutier le sheanne(2003) 61,60m et a fait l aquisition du plus gros chalutier du monde l'atlantic down- Coque acier Construit en en Norvège en 1999 Long: 140,60 m larg 24 m tiran 11,4 GT : 14055 Puissance : 14400kw immatriculation : SO 914 Quartier maritime de Sligo il est composé de 61 marins est et capable de ramener 7 millions de kg de poisson surgelé par voyage L'Atlantic Dawn aspire sous vide les poissons des filets, pour ensuite les stocker provisoirement dans des réservoirs d'eau de mer d'une capacité d'1.000.000 de kilos de poisson. Ce procédé permet à l'Atlantic Dawn de jeter à nouveau ses filets. Les poissons sont ensuite pompés des réservoirs de stockage vers un système de transport par tapis, puis triés en passant par une machine de pesage. Les poissons triés par poids sont ensuite acheminés directement vers les congélateurs à 48 plaques, où ils sont surgelés en bloc, pour être ensuite être emballés en boîtes à l'aide de machines automatiques. Ce système hautement automatisé est capable de traiter 400.000 kilos par jour, avec une capacité totale de 7 millions de kg de poisson surgelé en moins d'un mois de temps. 300.000 boîtes de 20 à 25 kg sont stockées dans d'énormes congélateurs sur trois étages. Les sennes qui se resserrent sont longues d'1 km et profondes de 170 m, les chaluts ont 365 m de longueur et 30 m de hauteur. Actuellement, le chalutier pêche encore le merlan bleu en 2007 il a ete revendu a un armement hollandais est rebaptisé annelies ilena
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#Posté le mercredi 15 avril 2009 20:09

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